samedi 15 février 2014

there's a rainbow over my shoulder.

Finalement, c'est peut-être que Laurelknowsit me permet de dire n'importe quoi et de foutre la marde que je m'y sens mieux. Alex is wanderlust m'a mis de la pression. C'est devenu un blog-quelqu'un qui me jugeait quand je ne lui donnais pas assez d'attention. Il me regardait avec ses gros yeux pas fins que j'ai moi-même créé et me pitchait des genre d'insultes et de reproches de « t'es pas fine, reviens, t'écris pas assez ». Il m'encadrait et dieu sait que je suis claustrophobe. Je n'aime surtout pas qu'on brime ma liberté et c'est ce que j'ai ressenti. Surtout que, ce blog-là, je l'ai réfléchis longtemps, Wanderlust, je veux dire. J'y pensais, je n'osais pas, sa stratégie n'était pas au point, la fille était pas prête à 100 %. Je voulais absolument que tout soit bien, parfait, et même qu'il aide les autres à prendre son courage à deux mains et se pousser dans les contrées lointaines. De grandes ambitions de fille malheureusement trop occuppée à se stresser sur un dépliant 5 pages A4 recto-verso sur Frutiger.

Y'a aussi je pense que je préfere dire « j'el savais ! » plutôt que de dévoiler à quel poiiiiiint j'ai besoin d'être ailleurs. Parce que de toute façon, c'est quand on me lit/écoute parler qu'on comprend qu'ici de toute façon j'suis là-bas.

Ca se passe dans ma tête.

Mais ce que j'essaie de dire c'est qu'écrire m'a manqué. Qu'y'avait une genre de boule d'émotions/anxiété/pain plein de beurre salé et de fromage dans mon dedans. J'ai l'impression d'avoir trop de mots à dire, tout veut sortir en même temps. Maintenant que je ne suis plus en terrain cousin, que Paris est dans mon cœur mais plus dehors, je vais revenir tranquillement à « le savoir ».

Rebonjour, moi c'est encore mais différemment Alex.


dimanche 12 mai 2013

une fois au Portugal,

je fais le tour de mes photos,
avec un nouveau projet en tête également
( un parmi tant d'autres, voyons voir si je le terminerai celui-là )

Porto, au Portugal.



lundi 25 février 2013

bonne nouvelle !

hey people, j'ai une bonne nouvelle.

je vais faire le Profil International. Grâââââââce à mon Université, je vais pouvoir faire une session à l'étranger, une session complète à Paris. quand ? cet automne.


je vais faire du design, manger des croissants frais avec du Nutella dessus, débuter chacune de mes phrases par Du coup, et les finir par putain. je vais me faire des milliers de copains francais mignons qui fument et portent des chapeaux. je vais voir la tour Eiffel peu importe dans quelle direction je suis, même si j'ai les yeux fermés. je vais pouvoir partir quelques weekends en Hongrie, en Lithuanie, en Norvege, au Portugal, peu importe. je vais visiter, rencontrer des gens et me sentir vivante. et surtout, je vais retrouver l'inspiration qui m'habite lorsque je suis ailleurs.

ailleurs, ailleurs. un vrai ailleurs, pendant une saison complète. 3 mois et demi de pure joie française, à rââââââler comme une française, je vais peut-être apprendre comment avoir ce je-ne-sais-quoi que seules les françaises ont si bien. avec leurs yeux de biche et le petite bouche pincée qui font fondre les mecs. je vais peut-être commencer à porter des robes même, et des collants. c'est si frenchie.

je ne suis pas prête mentalement,hey, je pars à la mi-aout. c'est bientôt ca.
j'ai absolument pas d'argent mais je suis tellement prête à remplir ma mini-valise
et, advienne que pourra.

houhouhouhouhou.

mercredi 16 janvier 2013

catégorie « it happened »

j'ai envie de raconter,

tsé, trop de gens sur une plage tue la plage.


la fois ou j'étais assise sous le seul palmier encore disponible.
il était près de 14h, et à cette heure, l'ombre n'existe pas vraiment. malheureusement, pour mon corps encore en feu de la journée internationale de l'oublie de crème solaire sur l'entièreté de mon dos, hier. mon livre de sudokus easy sur les genoux gras ( hi there, crème solaire ), j'en faisais 3 en 10 minutes, une vraie blague.

y'a cette japonaise qui est passée devant mon palmier, m'a regardé et s'est assise.
« hey, tu es la fille de l'auberge » ( elle voulait dire ici ; celle qui mange des céréales à la canelle en regardant l'euro chaque fois que je passe devant la cuisine ? )
« oui, salut ! mais je viens à peine de changer d'auberge, je suis plus loin, là-bas ».
et elle commenca. à parler de l'école, de son petit copain, de sa famille japaneese et de leurs traditions. elle rigolait, et avec ses yeux plissés, ne voyait plus rien. j'étais un peu troublée, je l'avoue. elle commenca à parler de crêpes.
« oh, j'aime, j'adore les crêpes ! je suis surtout venue ici à Hawai'i pour manger des crêpes ! »
« des crêpes à Hawai'i ? en France, ouais, mais aux States ? encore plus dans l'état de l'ananas ? je suis pas certaine ... tu veux la recette ? »

et c'est ainsi que j'ai donné une recette de crêpe en anglais à une japonaise.
et ensuite, y'a la fille d'à coté qui a attendu que Japaneese girl s'en aille pour discuter avec moi. Brésilienne, la chanceuse.

j'ai une face de fille à qui on veut parler.


vendredi 2 novembre 2012

sur le coeur,

parce que je faisais de nouveaux tags à mes articles ( californie, poésie, et plein d'autres ( ca me donne une raison de me relire ( je m'aime beuacoup) ) ), je me suis rendue compte que je n'avais pas posté beaucoup de photos d'Hawai'i. en voici trois. j'en mettrai d'autres dans quelques temps. ( je fais des panoramas dans la vie moi )